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Fév 15

Aux origines de la contraception : l’Antiquité

  • 15 février 2022
  • Pas de commentaires
  • Féminin, Symptothermie

La recherche de maitrise de la fertilité, ne date pas d’aujourd’hui.

En effet, nous pouvons remonter jusqu’à l’antiquité pour observer que déjà, ce sujet est au coeur des préoccupations.

La contraception est, depuis la nuit des temps un sujet qui fait débat.

Depuis que j’ai pris conscience de ce que représentait la contraception dans nos vies, au delà d’un simple moyen de maitriser la fertilité, je ne cesse de me questionner et d’observer l’impact du choix d’un moyen de contraception dans nos vies.

Que ce soit en tant qu’individu mais aussi, dans nos relations.

Qu’elles soient qualifiées d’amoureuses, de polyamoureuses, de polygames, polyandres ou tout autre façon d’envisager les relations où il y aurait une sexualité. Choisir de donner la vie ou pas est le fruit d’un long chemin et de grands questionnements.

Que ce soit concernant le rapport entre les hommes et les femmes  (je ne parle pas de genre mais bien de sexe attribué à la naissance).

Que ce soit sur un plan plus philosophique et universel qui a permis aux êtres humains de « maitriser la vie ». La contraception est bel et bien un enjeu de taille où il y a matière à réflexions.

Du coup, si comme moi, né.e dans les années 1980, vous avez été mise sous pilule à la puberté et qu’il vous a fallu une dizaine d’année pour prendre conscience de l’impact des hormones sur votre corps, la question suivante vous est alors déjà très certainement passée par la tête : « Mais alors, comment faisions nous avant?

Sachez que, à l’échelle mondiale en 2019, d’après l’institut national d’études démographiques, seulement 842 millions de femmes utilisent des méthodes modernes de contraception et 80 millions des méthodes traditionnelles.

La pilule n’arrive qu’en 4ème place (16%), non loin du stérilet (17%), du préservatif (21%) de la stérilisation (24%). Concernant les méthodes naturelles, il s’agit de la méthode du calendrier, du retrait et des autres méthodes qualifiées de « naturelles ». Se distinguent également les contraceptions ponctuelles et définitives.

Depuis quand a-t-on recours à la contraception ? Quels étaient les réflexions sur le sujet il y a des siècles ? la contraception était-elle une affaire partagée ou bien individuelle ? Incombait-elle à la femme, à l’homme, à la famille, aux proches ? Quels étaient les enjeux de l’époque et les moyens disponibles et majoritairement utilisés ? Avant la pilule contraceptive, moyen de contraception hormonal très actuel en Europe, qu’en était-il ?

Dans cette première partie de cette série « Histoire de la contraception », nous partirons sur les traces des Grecs anciens soit il y a un sacré bail (III siècles avant JC).

 

1- Quels rôles attribués à l’homme, la femme, la famille dans l’antiquité ?

Un faible taux de naissance

Les familles étaient peu nombreuses et l’espérance de vie très courte (environ 45 ans pour les hommes et 36 pour les femmes). Les taux de natalité et de mortalité oscillaient chaque année entre 35 et 50 pour 1000. L’accroissement de la population restait alors plutôt modeste.

Le couple n’avait rien à voir avec ce qui existe à notre époque. Beaucoup d’hommes choisissaient de ne pas se marier et ceux qui le faisaient, avaient peu d’enfants car déjà, sur 4 enfants, on estimaient que seuls 2 ou 3 survivaient. Dailleurs, il n’existait pas de mots Grecs pour désigner la famille au sens actuel. Le terme « Oikos » désignait seulement l’épouse et les enfants d’un homme mais aussi ses esclaves et ses biens.

De plus, en Crète par exemple, l’homosexualité bénéficiait d’un soutien officiel : réel moyen de maitriser la population. Ou encore, le recours aux services de courtisanes (esclaves) qui malheureusement, étaient bien souvent dénutries ou malades et dont les grossesses n’arrivaient presque jamais à terme.

La petite taille des familles était donc la conséquence d’un taux de mortalité élevé ainsi que de pratiques diverses qui cherchaient consciemment à restreindre la fécondité.

Avant d’aller plus loin, de nombreux textes (certes provenant de la haute société) relatent la pression du patriarcat ainsi que les attitudes et pensées misogyne. Certains autres érudits de l’époque au contraire, affirment que : « la condition des femmes n’était pas toujours si critique ».

Qu’on se le dise, il est bien démontré que les preuves sur le sujet sont plutôt minces.

Pour souligner ces propos, voici un court extrait d’un orateur Athénien de l’époque  » Les courtisanes (…) nous les avons pour le plaisir; les concubines pour les soins de tous les jours; les épouses pour avoir une descendance légitime et une gardienne fidèle du foyer ».

Les hommes faisaientt partie du monde public et les femmes du domaine domestique. Partout en Grèce, le modèle féminin était une femme asservie, menant une existence de recluse.

Un héritier était indispensable, seul un homme pouvait être le propriétaire de ses terres puisqu’une femme était alors considérée comme invitée dans le foyer. Si un homme n’avait pas d’enfant de sexe masculin, il pouvait alors en adopter un. L’adoption était chose commune à l’époque afin de s’assurer qu’aucun foyer ne manque d’héritier mâle.

La fécondité fût alors perçue comme une qualité à part entière bien qu’il fut important de limiter le nombre d’enfants afin de ne pas disperser l’héritage.

L’idéal était d’avoir un fils = héritier et une fille = conclure l’alliance par mariage avec une autre famille.

Le but était évident et les moyens utilisés nombreux : adoption, contraception, avortement, abandon, divorce…en fonction des circonstances.

Aristote suggère à l’époque, que l’on réglemente l’âge du mariage et que l’avortement soit un recours :

« Il faut, de fait, avoir fixé une limite aux nombres d’enfants à procréer; et si, par la suite de l’union de tel ou telle malgré ces règles, quelque enfant est conçu, on doit, avant qu’il y est sensibilité et vie, pratiquer l’avortement. » 

Le plus simple aurait été de reculer l’âge du mariage afin de limiter leur fécondité mais pour assurer la domination masculine, il était impossible de le concevoir. C’est ainsi que la question du contrôle des naissances de façon « artificielle » vu le jour.

Mais avant cela, les Grecs étaient désireux de comprendre le fonctionnement de la conception.

2- Que se passait-il pour qu’il y ait enfantement ?

Comme la société Grecque était une société patriarcale, toutes les discussions sur le sujet, étaient imprégnées du postulat qu’il existait une infériorité féminine. (dailleurs dans les récits mythologiques, il en ressort une évidente jalousie envers les femmes)

 » Ce n’est pas la mère qui enfante celui que l’on nomme son enfant : elle n’est que la nourrice du germe en elle semé. Celui qui enfante, c’est l’homme qui la féconde. Elle, comme une étrangère, sauvegarde la jeune pousse- quand du moins les Dieux n’y portent pas atteintes. »

Anaxagore, ami de Périclès (5ème siècle avt JC), partaient du principe que les femmes étaient le terrain fertile où l’homme y déposait sa semence. La femme aurait-elle même imitée la terre dans le principe de conception…

Aristote quant à lui, définissait la femme comme un échec. Il pouvait y avoir une vague ressemblance entre ses menstruations et le sperme de l’homme mais quand même, selon lui, en moins élaboré.

Si le sperme permettait de révéler une forme dans la matière c’était un mâle. Dans le cas contraire, le résultat était une femelle. Contrairement aux hommes, le plaisir des femmes n’étaient pas une nécessité pour concevoir puisqu’elles ne pouvaient émettre de « semence ».

Bien que Aristote n’ai que peu de connaissances concernant la physiologie humaine et qu’on ne soit pas forcément aujourd’hui, en amour avec son discours, il tentait de bâtir un raisonnement logique qui soulignait les polarités sexuelles de la famille. Ce qui n’était pas l’avis de tout le monde. Au contraire même, sa logique n’était que celle d’une minorité puisque le bon sens voulait que pour procréer, il était nécessaire d’avoir une femme et un homme. Son raisonnement faisait donc porter aux homme la pleine responsabilité de donner la vie. Pourtant non, qu’ils s’agissent des disciples d’Aristote ou d’Hippocrate, tous pensaient qu’il incombait à la femme d’assurer ce rôle.

Certains les comparaient aux oeufs des oiseaux, d’autres aux graines des arbres quand d’autres affirmaient que c’était leur collision qui permettaient de créer une vie.

Puis Hippocrate, clamait sans retenue que chacun d’eux produisaient une semence ( la glaire cervicale !! ) et qu’en fonction de son environnement dans l’utérus de la femme, cela pouvait influer sur sa force, sa faiblesse voir sur son sexe.

« Chez la femme, les parties génitales étant frottées et les matrices agitées, il survient comme un prurit, et le reste du corps en reçoit plaisir et chaleur. La femme a aussi une éjaculation fournie par le corps et se faisant tantôt dans les matrices (qui deviennent humides), tantôt en dehors, quand les matrices sont plus béantes qu’il ne convient » 

Les Grecs n’étaient donc pas daccord sur l’attribution des femmes dans la création d’un enfant et n’avaient en aucun cas recours à de quelconques idées ou notions d’intervention naturelles. La procréation était donc perçue comme une merveille mais en aucun cas un mystère.

3- De la conception à la procréation en passant par la contraception et l’avortement.

Les sources médicales de l’époque contenaient bien plus de références écrites concernant la fertilité que des moyens contraceptifs.

Préserver la fertilité

Pour qu’il y ai un équilibre entre les différentes humeurs du corps (voir théorie des humeurs Hippocrate, base des tempéraments en naturopathie) l’épouse devait consommer des fruits qui contenaient de nombreux pépins. Le recours aux pommades chaudes et fumigations étaient d’usage.

L’époque de l’année jouait également un rôle crucial quant à la réussite de cette fécondation.

« Le printemps est la meilleure saison » selon les textes écrits par Hippocrate.

Concernant le détermination du sexe de l’enfant, on parlait de type de régimes. Du chaud pour avoir des garçons et du froid pour avoir des filles.

Les différents moyens de contraceptions utilisés

Les divers conseils à propos de la préservation de la fertilité, étaient écrits par des médecins de l’époque dans le but aussi de contraindre la femme à l’hétérosexualité. En effet, le mariage leur permettait de ne pas souffrir d’hystérie, de ne pas laisser le sang des menstruations remonter jusqu’au coeur et ainsi, il était judicieux d’avoir recourt au coit afin de laisser l’utérus humide (le nom utérus n’est apparu que plus tard) et facilitait les menstruations suivantes. Le mariage était donc le remède idéal pour pallier à l’inconfort que ces femmes feraient subir aux hommes à cause de leurs états de santé.

En revanche, si un homme souhaitait s’abstenir, il était jugé comme prudent et sain puisque le coit ressemblait, selon eux, à une perte de connaissance brutale. Platon, Aristote, Hippocrate considéraient donc que ceux qui pratiquaient  la modération sexuelle était une bonne chose.

Ceux qui trouvaient difficile de restreindre leur fécondité, devaient avoir recours à d’autres modes.

Le coit interrrompu était parmi les formes les plus accessibles mais il est peu évoqué dans les textes. Peut être aussi, selon Angus MacLaren auteur du livre « histoire de contraception » « parce qu’à aucun moment, l’écrire ou de l’évoquer ne paru nécessaire ». Ou, parce qu’à aucun moment les hommes étaient prêts à renoncer au plaisir du coit et aussi (surtout) parce que le sperme était considéré comme un précieux élixir.(sans commentaires!)

Vraisemblablement, la sodomie très répandue de part l’attirance des Grecs pour d’autres hommes, était aussi pratiquée comme moyen de contraception.

Les contraceptions dites féminines, étaient plus nombreuses que celles des hommes ce qui prouve bien que cela n’était pas la préoccupation des hommes.

Il existait alors des « pessaires obstructeurs », « tampons » et autres potions afin d’éviter les grossesses.

Les potions

Elles étaient nombreuses. Les écrits relatent de multiples recettes en tous genres. A noter qu’il n’était pas toujours évident de savoir si ces herbes permettaient de prévenir la conception ou bien d’y mettre fin.

L’écorce d’aubépine, les feuilles de saule, de lierre, les choux macérés dans du lait de chèvre étaient considérées comme d’efficaces stérilisants.

Les contraceptions mécaniques

Les contraceptions dites « mécaniques », étaient également fréquemment utilisées.

De la gomme ou de l’huile de cèdre, de la pierre d’alun, des suppositoires de menthe poivrée/miel ou des baies de génévrier à insérer à l’intérieur de l’utérus et si possible, juste avant ou juste après les menstruations pour plus d’efficacité. Ces pratiques n’étaient en réalité que des stratégies principalement pratiquées par des femmes. Les femmes avaient ainsi un rôle actif concernant leur destinée, ce qui démontre que déjà à l’époque, les femmes appliquaient le contrôle sur leur fécondité.

Il était bien moins risqué de recourir à ces méthodes que d’avorter. Pourtant, les références sur le sujet à cette période, sont bien plus nombreuses que concernant les moyens de contraception. Effectivement, qu’il s’agisse du coit interrompu, d’une méthode de cycle ou bien de pratiques anales, elles n’étaient souvent que peu révélées dans les écrits.

Alors que, au contraire, l’avortement nécessitait une tierce personne afin d’obtenir assistance et conseil lors de l’acte.

Les textes médicaux Grecs sont donc très nombreux à ce sujet.

« Les dangers sont plus grands pour la femme qui avorte, les avortements étant plus pénibles que les accouchements. Il n’est pas possible en effet qu’il n’y ait pas violence dans l’expulsion de l’embryon, soit par un purgatif, soit par une boisson, soit par un aliment, soit par des pessaires, soit par tout autre chose. »

Le plus grand des dangers était d’avoir recours à la perforation de la poche pour accélérer l’expulsion.

Ils utilisaient des fumigations pour ramollir le col, y inséraient des dilatateurs en bois, en étain ou en plomb puis si nécessaire, à des pessaires (cotons imprégnés de diverses substances) ou divers cataplasmes.

Evidemment, on peut se poser la question à savoir : « est-ce que l’avortement était accepté ou non à cette époque? »

Diverses théories avancent que les Grecs toléraient le déclenchement concernant les fausses couches mais qu’ils étaient interdits aux médecins de pratiquer l’avortement (Hippocrate).

La croyance selon laquelle la vie débute à l’instant où il y a conception faisait plutôt parti des religions à mystère.

La frontière entre contraception et avortement était donc très mince. Etant donné qu’il n’ y avait aucun moyen de savoir à quel stade on pouvait considérer la vie humaine comme « viable ». Les textes relatent des descriptions qui semblent suggérer qu’il s’agit de foetus de 6 à 8 semaines alors qu’à l’époque, il fut identifié comme un embryon de 6 jours. Il n’existait donc pas de mesures claires et précises concernant le caractère abortif ou contraceptif de certaines méthodes employées.

« Pour les Grecs, la vie n’apparaissait chez les « mâles » qu’après 30 à 40 jours après la conception. Pour les « femelles », 80 à 90 jours après. »

L’avortement était également vu d’un mauvais oeil puisque ces pratiques qui se pouvaient être clandestines la plupart du temps, pouvaient dissimuler le résultat de tromperie. Si ces femmes étaient mariées, elles devaient alors demander à leur mari la permission avant de passer à l’acte.

La naissance

Une fois l’enfant né, le père pouvait, si il le souhaitait, refuser son enfant. Il avait alors jusqu’à dix jours pour prendre sa décision.

La cérémonie dédiée à l’attribution du prénom, permettait l’acceptation publique.

Si l’enfant était abandonné et qu’il survivait, il pouvait être élevé comme un homme libre ou comme un esclave.

Les abandons ou infanticides permettaient de se débarrasser des nouveaux nés de sexe féminin.

4- Conclusion

Les Grecs étaient donc incapables de voir le contrôle de la fécondité sans le séparer du rôle que chacun avait dans la famille.

Les hommes étaient en effet, soucieux de protéger leur héritage.

Les femmes étaient seules responsables de leur contraception.

Les médecins qui étaient des hommes ne s’intéressaient guère à une quelconque méthode de contraception masculine et il était socialement accepté d’abandonner son enfant si celui-ci ne répondait pas aux critères nécessaires à la préservation.

 

La suite se passera chez les Romains…à très bientôt !

 

 

Sources :

« Histoire de la contraception »  Angus MacLareen.

« Histoire de la contraception, de la grossesse désirée à la grossesse subie. » Thèse de Angèle Bodet.

Institut National d’études démographiques.

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Tout prend racine quelque part. Saviez-vous qu’ Tout prend racine quelque part.

Saviez-vous qu’une partie de vous était déjà présente dans le ventre de votre grand mère ?

Vous étiez déjà un des ovocytes que contenait un des follicules présents dans un des ovaires de votre mère !

Quand on y pense, il n’y a donc rien d’étonnant quand à la transmission qui se fait à notre insu de générations en générations.

Nous sommes une partie de nos mères, de nos grand mères, de nos arrières grand mères et bien plus encore. 
Que nous le voulions ou nous, nous arrivons au monde avec une valise plus ou moins lourde en fonction de chacune.

Et rien n’est jamais tout blanc ou tout noir, dans cette palette de vie. 
Le gris, c’est cette force qui nous pousse à devenir malgré tout celle que nous choisissons d’incarner et qu’au fil du temps, nous apprenons à aimer. 
C’est aussi celle qui accepte l’idée, que quelques objets de cette valise lui ont été légués. C’est créer, rassurer, ouvrir, libérer, toutes celles qui n’ont pas pu avant nous.
Cette lignée de femmes est une possibilité infinie de se découvrir à travers les racines de sa vie.

Si rien ne semble évident sur ce chemin qui crie le besoin de guérison, c’est peut être parce que vous êtes celle qui transmutera toutes ces années de douleurs et de silence, en un recueil d’amour et de liberté.
Je vous envoie toute la Confiance de la terre et le courage nécessaire pour savoir tomber et vous relever. 
Vous êtes celle que le monde attendait.
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Sabbat de Lammas. Aujourd’hui, nous fêtons le Sabbat de Lammas.

Aujourd’hui, nous fêtons le sommet de l’été et principalement l’abondance des moissons.
Symboliquement, c’est aussi une date importante pour célébrer les fruits de votre vie.

Un sabbat est une fête païenne, celtes, grecque, romaine… qui glorifie les cycles de la nature de façon très globale.
Avant que la religion chrétienne ne s’instaure, les anciens suivaient des rythmes/enseignements qui n’étaient autres que ceux de la nature. 
C’est un précieux point de repère alors qu’actuellement, nous n’honorons plus ce cycle de la vie de façon aussi intentionnelle.

La fête de lammas, est aussi appelée Lughnasadh (se prononce lu-na-sa) et se célèbre les premiers jours d’août.
Le dieu soleil « Lugh » est à l’honneur car sans lui rien de tout cela ne serait possible.

Cette date se trouve à mi-chemin entre le solstice d’été et l’équinoxe de l’automne.
La terre nous offre ses premières récoltes de fruits et de céréales . On se réjouit du travail passé et de cette exubérance estivale. 
Et comme nous ne sommes plus au début de l’été et allons progressivement vers la saison de l’automne, il est temps de faire des réserves pour  les mois à venir.

Cette fête se célèbre traditionnellement  par la confection du pain.
Vous pouvez ritualiser ce passage en faisant un gâteau, des biscuits ou un pain maison. Et comme à chaque passage, en posant votre intention sur ces merveilles que nous a encore une fois cette année, offert la nature. 

Beau passage à tous.tes ! 🌾 
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Photo @mathilde.cct 🌞
#sabbat #lammas #lughnasadh #passage #recolte #abondance #paien #saison #ete2021 #paien #sorciere #honorer #saison #cycle #cyclefeminin
Et je peux vous dire que c’est déjà pas mal ! Et je peux vous dire que c’est déjà pas mal !

Être soi-même c’est accepter que la vie nous a offert ce qu’on était en capacité de recevoir à ce moment de notre existence. C’est faire avec ce qui est là.

À chaque instant, tous.tes, nous faisons du mieux que l’on peut, n’oubliez jamais ça.

Vous êtes aimables tel.les que vous êtes et c’est possible de ne pas s’imaginer être autrement.

Petit à petit.

#etresoi
PLEINE LUNE VERSEAU ♒️ . . . . À chaque plei PLEINE LUNE VERSEAU ♒️ 
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À chaque pleine lune, c’est une opportunité de regarder les choses de façon plus claires et évidente que jamais.
L’intensité de la lumière nous met la tête dedans, afin de ne plus passer à côté!

À son opposé, le soleil vient de rentrer dans le signe du Lion. Les énergies de coeur, de noblesse, d’amusement et de fierté sont mises en avant.
Chaque signe vient compléter son signe contraire en lui apportant ce qu’il a besoin d’aller d’explorer. À la sauce Yin & Yang en quelque sorte !

Ce matin, la lune brillait dans le signe du verseau. Coucou la révolution ! 
Et ça tombe bien car ces derniers temps, l’univers appel au changement et au positionnement.

Signe d’air gouverné par Uranus, le verseau rassemble et agit pour le collectif.
Son besoin d’indépendance et de liberté peut parfois déconcerter et lui donner un air marginal ou trop distant. Mais qu’on ne s’y trompe pas, en bon signe d’air, son intellect est puissant et ses idées visionnaires seront utilisées pour la bonne cause.
Cependant, dans ses basses vibrations, le verseau pourrait devenir trop vindicatif, voir intolérant.
Gardons les pieds sur terre et ne nous mettons pas d’œillères !

Voici quelques réflexions à mener seul.e ou à plusieurs :

Quelles intentions porter dans ce nouveau monde ? Quelles visions avons nous du futur ? Que souhaitons nous voir jaillir et devenir des tripes de notre humanité ?
Laissons nous suffisamment de place à nos réelles envies plutôt qu’à notre ego ?

Le vent vient de tourner !
Je vous souhaite tel des aventurier.ieres et explorateurs.trices de ce monde, un beau voyage sur les mers de l’inconscient collectif.

Car « rien n’est impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse. » N.Mandela.

Belle pleine lune à vous ! ♒️♒️♒️
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#astrologie #astro #pleinelune #pleinelune🌕 #verseau #lion #energies #lunaires #archetypes #vibrations #liberté #air #independance #revolution #avantgardiste #collectif #astres #cosmos #2021 #pleinelunejuillet #fullmoon #vannes #bretagne
Avant que le vent ne tourne, mon bel été. J’a Avant que le vent ne tourne, mon bel été.

J’ai tant pensé à toi cet hiver, le temps était si long, j’imaginais la mer.

À toi, mois de juillet, qui nous offre du temps pour nous perdre dans les rues, oubliant chaque seconde, qui rythme notre monde.

Au retour de la plage, l’odeur du monoi, qui dorent les grains de peaux, laissera quelques traces, au bord des rivages. 

J’observe avec délice, ces marcheurs sac au dos, qui visitent nos villes et nos quartiers de cœurs.

Et là un peu plus loin, les enfants accourants, aux côtés des glaciers, le sourire sur les lèvres, s’en mettant plein les mains. 

Doux parfum de l’été, chaque année c’est pareil, ton goût et tes odeurs m’adoucissent le coeur.

Sans toi mon cher été, je ne saurai vraiment, apprécier consciemment, de compter sur les doigts, ton retour annuel.

#Eté 
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Photo @mathilde.cct 🌞
I ZOOM SUR LA VITAMINE B12 I . . . La vitamine B12 I ZOOM SUR LA VITAMINE B12 I
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La vitamine B12 est une vitamine essentielle même si ses besoins quotidiens sont faibles. 
On la trouve principalement dans les produits animaux.

Son apport est fondamental pour un bon fonctionnement du système nerveux , dans la production d’énergie de nos cellules et dans la synthèse de l’ADN et de nos neurotransmetteurs. Bref, sans elle, on peut vite vriller !

Sa présence ou sa carence est directement en lien avec la Vitamine B9 (oui cette vitamine que l’on donne dès qu’il y a un projet Baby dans l’air!) qui vient également à manquer si notre taux de B12 n’est pas suffisant.
Le lien de ces deux vitamines lorsqu’il y a un désir d’enfant est donc indéniable.
Elles fonctionnent un peu comme le Yin et le yang.
On fera donc gaffe les futures mamas, si vous avez opté pour un régime végétarien ou végétalien a avoir un taux suffisamment élevé de B12 🌱 

Cette vitamine doit être apportée à 100% par notre alimentation puisque que le corps n’en fabrique pas. Et Pour être correctement assimilée, notre estomac doit avoir un Ph suffisamment acide.
Hors, aujourd’hui à cause d’une alimentation déséquilibrée ou d’un stress devenu chronique (oui on parle bien de toi!!! Et de moi 😉🔥) notre estomac est bien souvent en mauvais état et ne sécrète plus cette acidité de façon optimale.

Donc en résumé, si on veut un bébé, on veillera à  bien prendre soin de soi par tous les moyens qui nous procureront détente et relaxation. 
En gros, on se met au yoga 🧘🏾 🧘🏽‍♂️ 🧘🏾
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#B12 #projetbebe #essaibebe #fiv #pma #cyclefeminin #cyclemenstruel #cyclique #naturopathieaufeminin #fertilite #symptothermie #sanshormones #conception #arretpilule #vegan #vegetarien
ETES-VOUS LE PETIT MOUTON NOIR? Ça peut sembler ETES-VOUS LE PETIT MOUTON NOIR?

Ça peut sembler une montagne pour certaines d’entre vous d’affirmer que vous ne désirez plus prendre d’hormones de synthèse.
Et encore plus parfois, d’oser dire que vous avez l’envie de pratiquer une méthode d’observation du cycle comme la symptothermie.

Les questions/réponses ont tendance à vite fuser et à vous décourager :

🔥 «Mais du coup tu vas faire comment ? »
🔥 « C’est pas un peu craignos ton truc ? »
🔥 « A ta place je flipperai de tomber enceinte »
🔥  « J’ai entendu dire que c’était pas fiable du tout »…etc..etc.

Et c’est là, après quelques échange avec votre voisine Martine, que vous remettez votre besoin de prendre soin de vous, en question.
Oui vous avez bien lu, parce que ça n’est pas une lubie, un caprice ou une fixette que de vouloir s’occuper de soi.

Et il existe d’ailleurs pleiiiin d’autres domaines peu connus où l’on peu avoir peur et où on préfère ne pas s’aventurer.
Ou parce qu’on ne se sent pas capable on en vient aussi à dissuader notre voisine Martine de son idée.
Mais derrière tout cela, sommes nous vraiment renseigné.es ? 

Aujourd’hui, s’écouter et se faire confiance est presque devenu synonyme d’égoïsme ou perçu comme une trahison aux habitudes les plus courantes ( cad prendre soin des autres avant soi et faire passer leurs envies avant nos besoins, vous vous reconnaissez ?)

Je crois que nous sommes peu à douter d’avoir soif, froid, de faire pipi ou caca, alors pourquoi faire autant douter de ne pas vouloir ingérer d’hormones dans notre corps et d’en prendre soin ? 
(Et ça s’applique d’ailleurs à beaucoup plus large que ça..sans rentrer dans un quelconque débat!🔥😉)
Chacun ses choix!

Mes chers petits moutons noirs, sachez que votre plus grand pouvoir réside dans celui de choisir ce qui vous semble être bon pour vous.
Aussi simple qu’à un enfant de 3 ans, posez vous cette question :
« J’aime ou je n’aime pas ? »
De vous à vous, vous en tirerez parfois les plus grandes leçons!
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#En2021jechoisiscequimeconvient
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Illustration @shaza.wajjokh 👯‍♂️
Imposer est synonyme de régner. Sommes nous vrai Imposer est synonyme de régner.

Sommes nous vraiment en train de nous diviser ?
Par la peur, la divergence d’opinions, allons nous vraiment arrêter de vivre ensemble et de co-créer ?

Qui aujourd’hui prétend dire au monde sans vaciller, que c’est la vérité ? 
Que c’est l’unique solution de toute une nation.
Que le monde de demain sera celui de l’oppression.
Qu’il n’y aura plus de choix dans LE pays des droits de l’homme.
En rasant les fondamentaux de la révolution, rien qu’en passant un coup de gomme ?

Vraiment ? sommes nous déjà vaincu.es d’avoir été tellement convaincu.es ? 
Sommes nous tant résigné.es ? à faire marche arrière, à nous laisser cadenasser ?

Il y a pourtant tant à faire, tant à vouloir.
Pour vibrer haut et fort notre propre pouvoir.

Non. Je ne signerai pas pour créer ce monde là. Et je sais bien que vous êtes nombreux.ses, à être dans ce cas.
Mon corps c’est mon choix. Nos corps, nos postulats.

Parce que ma souveraineté est reine et s’est mariée avec ma liberté.
Inspirons et expirons la lumière de nos cœurs, pour apporter au monde notre conscience sans peur.
Ensemble, solidaires, traversons cet hiver.
Ensemble, nous aurons chaud et rien ne pourra nous défaire.
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#monchoix #maliberté 
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